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Yhsim Kisanagi - Hell is not outside, it's inside our heads

Yhsim Kisanagi

Yhsim Kisanagi

Infecté

Messages : 72
Date d'inscription : 30/08/2020
Dim 30 Aoû - 17:12
Yhsim Kisanagi

centres d'intérêts
FEAT Fushimi Saruhiko FROM K Project

Tu te sers de ton métier de hackeur à de bonnes fins la plupart du temps : tu aides les gens dont les ordinateurs ou sites ne sont pas sécurisés à remettre leur défense à niveau. Mais comme c’est toi – et quelques connaissances – qui leur « vends » cette remise à niveau, tu connais évidemment les faiblesses, en cas de besoin.
Parfois, tu donnes un coup de main bénévole dans les refuges animaliers, quand tu en as le temps entre ton travail et les à côtés.
Tu maîtrises la langue des signes, ce qui t'est bien idéal lorsque tu changes de tenue et d'identité... Car tes traits androgynes te permettent facilement de te faire passer pour l'un ou pour l'autre, à condition que personne ne vérifie entre tes jambes, et que tu portes quelque chose autour du cou si tu choisis ton identité féminine...
Et puis, tu aides parfois ton ami de longue date - un ancien militaire - sur des "missions non officielles". Tu l'aides avec ton talent de hackeur, et lui en retour t'offre une protection disponible dès que tu en as besoin. Car en dépit des apparences, il est très influent...


informations

NOM - Kisanagi
PRÉNOM - Yhsim
AGE - 29 ans

ORIENTATION - Homosexuel
GROUPE - Professeur d'informatique/hackeur (Riche)
CODE -


caractère

Toutes ces années de souffrance et de solitude t’ont hélas forgé une carapace de méfiance accrue envers toute personne qui tente de se montrer chaleureuse envers toi. Mais dans le même temps, tu souffres de ne pas savoir faire confiance aux autres. Tu en viens souvent à te dévaloriser, alors que certaines personnes peuvent t’apprécier pour qui tu es.

Tu souffres d’un énorme manque d’affection, tu n’as même pas eu droit à l’amour de tes parents. Enfant non désiré, camarade de classe moqué et humilié, tu ne sais pas quel effet cela fait d’apprécier quelqu’un, quel effet cela fait d’être apprécié pour qui tu es. Tu pourrais être classé comme dépressif, mais tu n’en as pas les symptômes malgré tes nombreuses tentatives de suicide. La plus grave remonte à quelques années, juste avant ta... démission. C'est la dernière qui t'a conduit dans un état critique à l'hôpital.

Mais tout n’est pas noir en toi. Tu as quand même un bon fond. Tu adores les animaux et les plantes, et tu n’hésites jamais à voler au secours des animaux en danger ou abandonnés, peu importe si tu y risques ta vie. Ta maison est un véritable refuge pour animaux mais hélas tu n’as pas de compagnon à toi. Tu rêves d’en avoir un, qui serait ta bouffée d’oxygène... mais tu n’as pas tout à fait le temps de t’occuper d’un animal. Surtout avec ton travail de professeur.

Sans compter qu’en tant que professeur, tu dois garder un œil sur tes élèves. Tu ne voudrais pas qu’un autre vive le même enfer que toi, tout comme tu ne voudrais pas que se reproduise l’incident qui t’a poussé à démissionner... Tu ne sais toujours pas d’où t’est venue la force d’esprit qui t’a poussé à agir ainsi ce jour-là. Peut-être as-tu un léger trouble de la personnalité, dans le fond ? Tu devrais demander une étude en profondeur à ta psychiatre... mais tu n’aimes déjà pas aller la voir, malgré que ce soit nécessaire.

Parfois, tu as ce genre de crise. Bien différentes de tes coups de déprime où tu te fais du mal, tu as l’impression qu’il s’agit d’une crise d’hystérie dans laquelle tu rêves de pouvoir tourner cette souffrance en violence envers les autres. Tu sens ces crises arriver, et tu sais que tu dois t’isoler sous peine de blesser quelqu’un... ou retourner cette violence contre toi. Et tu comptes bien faire en sorte que cela continue ainsi, tu ne veux pas blesser qui que ce soit.

A l’opposé, il y a Misery. Cet avatar, ce personnage que tu as créé de toutes pièces. Misery a cette assurance qu’il te manque parfois, cette popularité que tu n’as jamais eue. Même si dans le fond, ça reste toi, tu sais que les gens ne t’admireraient jamais autant qu’ils peuvent admirer ton... « alter ego ». Ils admirent le reflet, l’inconnue dans le miroir, sans chercher à voir derrière le masque.

histoire

Parfois, tu te demandes... Pourquoi est-ce que tu as dû vivre tout ça, pourquoi n’avais-tu jamais le droit à cette chose qu’on appelle amour ? Pourquoi est-ce que tout le monde t’a rejeté ainsi ? En quoi étais-tu méprisable ?

Tes deux parents s’aimaient, du moins, tu le supposes. Tu as cru comprendre que leur amour ne plaisait pas à leurs familles respectives, vu que tu n’as jamais connu tes grands-parents car tout lien avait été coupé. Tes parents vivaient ensemble, dans un appartement un peu trop juste pour deux personnes, et par conséquence trop petit pour trois. Ta mère ignorait ta présence au départ, faisant ce que l’on appelle couramment un déni de grossesse. Et pourtant, tu es venu au monde, un 13 septembre. Enfant prématuré, fragile, poids plume.
Le choc fut terrible pour ta mère. Oh, elle ne chercha pas à te tuer ni à te faire du mal... Simplement, elle ne parvint pas à t’aimer. Elle essaya au début, mais elle ne ressentait rien pour toi. Rien que de l’indifférence, voire même de l’agacement pour le peu que tu pleurais. Ton père ? Il n’était pas mieux. Il n’avait pas souhaité avoir d’enfant, pas si tôt du moins, et il ne t’aimait pas plus qu’elle. Lui non plus ne te faisait pas de mal, simplement, il ne parvenait pas à se réjouir ou à t’apprécier. T’abandonner à une meilleure famille ? Cela aurait fait le jeu de tes grands-parents, du moins c’est ce qu’il disait au début...

Tu avais deux ans lorsque ta mère quitta un jour la maison pour ne plus revenir. Tu la réclamas au début, mais voyant que le simple fait de l’évoquer rendait ton père malheureux, tu choisis de ne plus parler d’elle.
Les enfants sont cruels, tu sais ? De voir que tu rentrais tout seul de l’école, que aucune maman ne venait te voir, ils ont commencé à se moquer de toi. Les lunettes que tu as dû bien vite porter en raison de problèmes de vue n’ont fait qu’ajouter d’autres moqueries. On te bousculait sans ménagement, on te volait tes affaires, on brisait tes lunettes. Les professeurs ne faisaient pas grand-chose pour te venir en aide, aveugles ou prétendant qu’il s’agissait de jeux d’enfants. Au collège, rien ne s’est arrangé. Tu as même été victime de fausses lettres d’amour, te retrouvant à attendre seul durant des heures sans que personne ne vienne, ou alors te retrouvant entouré par tout le monde qui se moquait de toi.

Vers tes 14 ans cependant, un événement vint changer quelque peu ta vie. Pour la première fois depuis des années, tu avais reçu un cadeau pour ton anniversaire. Un ordinateur. Ton tout premier. Ton père l’installa dans ta chambre et tu pris rapidement tes repères sur cette nouvelle machine. Mieux : tu te découvris un véritable talent avec l’informatique. Fier de toi, tu descendis en trombe pour demander à ton père de venir voir... sauf que tu remarquas qu’il s’était installé comme à son habitude devant la télévision avec de l’alcool. C’était juste une façon de se débarrasser de toi. C’est à cet âge que tu as fait ta première tentative de suicide, suivie de bien d’autres au fil des ans.
Au lycée, tu choisis de poursuivre des études d’informatique, que tu bouclas rapidement tant tu étais doué. Les autres élèves étaient jaloux de ta réussite et continuaient à se moquer de toi, mais tu avais hélas l’habitude. Sauf que cette fois, tu avais de quoi te venger sur eux. Tes talents en informatique leur étaient bien utiles pour réparer leurs ordinateurs piratés... si on mettait de côté le fait que c’était toi qui les avais piratés.

Tu devins rapidement un hackeur connu sous le pseudonyme de Misery. Mais tu ne pouvais pas rester seulement un hackeur, il te fallait un métier stable... Tu choisis de suivre un cursus accéléré afin de devenir professeur d’informatique, te disant qu’ainsi, tu pourrais remarquer les élèves se trouvant dans la même situation de harcèlement que celle que tu avais vécue. Cependant, il t’était difficile de devoir faire face à des foules d’élèves parfois ignares...
Bien que le pire fut lors de ta vingt-quatrième année. Tu étais tenu d’assister à un conseil de classe. Tu savais que l’un de tes élèves était victime de harcèlement, et tu t’étais juré d’évoquer son cas dès que possible. Lors de ce conseil de classe, tu attendis que l’un de tes collègues daigne parler de cet élève, sauf que personne ne le fit. Tu pris la parole, t’attendant à une quelconque réaction... La réponse qui te fut adressée te déplut fortement.

« Je ne vois pas où est le problème. Ce ne sont que des jeux d’enfants, rien de plus... »

Des jeux d’enfants, ces mêmes mots que tu avais entendu durant ton enfance. Tu te levas et saisis le directeur par le bras sans dire un mot, l’entraînant jusqu’en haut des escaliers. Tes collègues tentèrent de t’arrêter, mais le regard que tu leur lanças leur fit comprendre qu’ils seraient les prochains s’ils essayaient d’arrêter. Tu tenais le directeur par le poignet, le regard empli d’une sombre détermination.

« Des jeux d’enfants ?! C’est ainsi que vous voyez la situation ?! Cet élève est harcelé, humilié, frappé, et vous appelez ça un jeu d’enfant ?! Que pensez-vous de ce jeu, alors ?! »

Tu ne l’avais pas choisi par hasard, son fils faisait partie de la bande qui harcelait l’autre élève. Sans aucun remords, tu le jetas dans les escaliers, fou de rage mais le cœur en morceaux. Tu ne voulais pas en arriver là. Ils t’avaient poussé à bout. Des années de souffrance, des mois à essayer d’ouvrir les yeux aux autres pour qu’ils te ressortent en fin de compte ces mêmes mots que tu avais beaucoup trop entendus... Tu t’enfuis rapidement après cet acte. Un de tes collègues te retrouva plus tard, inconscient, dans un coin isolé. Tu passas de longues semaines entre la vie et la mort, puis de longs mois en « rééducation psychiatrique » comme ta psy s’amuse parfois à appeler ça.

Tu as de nouveau tenté de te suicider, en voulant te jeter dans le vide, il y a de cela trois ans. Tu étais prêt à lâcher ton appui, prêt à te laisser tomber... sauf que quelqu'un refusait de te voir mourir ainsi. Une personne est montée jusqu'au toit de l'immeuble, et t'a parlé, longuement. Presque aussi longuement que tu aurais pu parler à ta psy... Et finalement, tu as renoncé à sauter. Tu t'es écroulé en larmes dans ses bras, et il ne t'a pas rejeté.
Sa femme t'a également accepté de suite chez eux... et vous êtes devenus au fil des ans de très bons amis lui et toi.

Tu pensais sincèrement que tu n’arriverais jamais à retrouver un travail, du moins pas dans l’éducation après ton coup de sang... Et pourtant, tu as entendu parler d’un établissement particulier où riches et pauvres, sains et fous, se côtoieraient. Sans réel espoir, tu as déposé ta candidature en tant que professeur d’informatique avancé. Et tu as été admis. Bizarrement, ton coup de sang ne les a pas intimidés. De même que ta nature dépressive liée à ton manque cruel d’affection ne les repousse pas. Tu ignores ce que l’avenir te réserve dans cet endroit, mais tu le découvriras bien vite...


derrière l'écran

PSEUDO - Mishy
ÂGE - Bientôt 30 ans
DISPONIBILITE - Quand je veux ?
AUTRE CHOSE - J'vous love tous '^'

(c) fiche crée par rits-u sur epicode
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Akihide Naomira

Akihide Naomira

Messages : 132
Date d'inscription : 25/08/2020
Dim 30 Aoû - 17:40

Dernière Ligne Droite !


Bienvenue mon chou Yhsim Kisanagi - Hell is not outside, it's inside our heads 1158797059 bien évidemment tu te doutes de ce que je vais te dire... Viens au lit que je m'occupe de tes fesses... Ah? C'est pas ça? Bon bah lis la suite tssss rabat joie


- Les membres et le staff te félicitent tous pour la création de ton personnage et nous te souhaitons bienvenue parmi nous!

Malheureusement pour toi, les démarches administratives ne sont pas terminées, mais voici un guide pour que cela soit le plus simple et le plus rapide possible ! Et si tu as des questions, n'hésites pas à demander par mp.


Tu Dois Donc :

Recenser ton avatar par-ici.
Faire une demande de logement / chambre par-là.


De Plus :

Si tu le souhaites, tu peux faire une demande de rp de ce côté.

Pour finir c'est par là pour faire ton agenda Te perds pas!.



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